Le commencement
Pour débuter l’aventure de ce nouveau site le 08/05/2024, je vais vous présenter les coulisses du fonctionnement de celui-ci.
Les noms de domaines
Pour arriver jusqu’à cet article, vous avez suivi une URL du type : https://www.nirl.eu/le-commencement/
Cette URL est composée du nom de domaine ici : nirl.eu
Le nom de domaine est indispensable pour créer un site. Sans celui-ci, il est difficile de le rendre accessible.
Comme vous vous en douté, j'ai acheté le domaine « nirl.eu » auprès d’un bureau d’enregistrement dans mon cas chez OVH.
D’après le whois le domaine a été créé, le 08/05/2019…
Je suis allé vérifier dans mes mails, j’ai cru à une blague, mais non cela fait 5 ans que le domaine a été créé.
Mais l’histoire de NIRL n’a pas commencé il y a 5 ans… Le domaine nirl.fr renvoi sur nirl.eu, et si l’on inspecte le whois et celui-ci a été créé le 17/02/2018.
L’hébergement
Afin de publier le site en plus du nom de domaine, il faut un hébergeur, il en existe de nombreux sur le marché dont OVH que j’ai déjà cité.
Dans le cas de NIRL, celui-ci est hébergé sur un VPS (serveur dédié virtuel) avec une configuration maison.
Le VPS dispose de la configuration suivante :
- 4 GB RAM
- 50 GB SSD
- 4 coeurs de CPU
La configuration maison
Ici, je ne vais pas aborder l’aspect technique de la configuration, celle-ci fera l’objet d’un prochain article, mais l’aspect fonctionnel.
Le VPS est installé sous debian 12, pour faire tourner le site, j’utilise docker.
Actuellement, il faut trois conteneurs pour faire tourner celui-ci.
- Le premier est le conteneur SWAG, c’est un proxy inversé qui gère le certificat du site.
- Le second est un conteneur nginx avec php 8.3
- Le dernier est la base de données mariadb
Le CMS
La dernière étape, le choix du système de gestion de contenu ou plus souvent appelé CMS.
N’ayant aucune préférence, j’ai installé le plus utilisé, j’ai nommé WordPress.
Après son installation, j'ai pris un thème disponible et voici le site en ligne.
Le mot de la fin
Maintenant, que le site est en ligne, il va falloir le faire vivre, c’est toujours plus facile à dire qu’à faire.
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